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Publié le 16/01/2023 - 14h54

Jessie2

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

  • F - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)

La diminution de la consommaion d'électricité est obligatoire dans tous les scénarios de l'ADEME. On doit passer par là. Cependant avec le choix actuel de passer à la voiture électrique (il semble irraisonné de ne pas prévoir de réduire le parc automobile qu'il soit électrique ou carboné), il faut évaluer correctement les besoins indispensables en électricité. De ce point de vue il manque une pièce du puzzle: comment stocker les énergies renouvelables. Si les capacités de stockage restent au niveau actuel, il faudra construire en double le renouvelable (éolien et solaire) et des centrales à gaz ou nucléaires qui doivent être mises en route quand il n'y a plus de vent ou que le temps est couvert. En Allemagne,par exemple l'arrêt du nuclaire a déclenché l'augmentation de émissions de gaz à effet de serre dejà très importatnes du pays malgré la constructiion de nouveaux champs d'éoliennes et de parcs solaires. Il est donc primordial de financer la recherche sur l'hydrogène ou autres moyens de stockage de l'énergie à grande échelle pour ne pas construire en double. Il faut absolument éliminer l'énergie provenant des forêts car celles-ci doivent être exploitées à minima car c'est le seul moyen à disposition pour absorber de grandes quantités du CO2 de l'atmosphère. Le potentiel de la forêt française est actuellemnt de 30 % des émissions nationales et pourraient croître jusqu"à 100% en 50 ans si on laissait croître la forêt au lieu d'intensifier son exploitation (à émissions françaises constantes et accroissement naturel constant de la forêt).