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Publié le 16/01/2023 - 15h32

Thomas C

  • B - Un haut niveau d’excellence opérationnelle de la filière tant en ce qui concerne la fiabilité opérationnelle et la disponibilité du parc nucléaire existant, le démantèlement sûr des centrales nucléaires, que la capacité à délivrer d’éventuels nouveaux réacteurs, afin de maîtriser les coûts et les délais

  • C - La résilience au changement climatique

  • G - La réduction des besoins d’importation notamment en uranium (ex. au travers du recyclage des déchets nucléaires pouvant l’être) quitte à augmenter le prix de l’électricité produite

Je pense qu'il faut absolument sécuriser les compétences, l'exemple de l'EPR de Flamanville nous montre qu'on ne sait plus faire. En terme d'anticipation d'une indépendance énergétique, sécuriser l'approvisionnement en uranimum et travailler pour être capable d'utiliser ce que nous avons déjà sur notre territoire. Enfin, il faut prendre en compte les évolutions climatiques qui vont impacter les températures, les niveaux d'eau et les débit dans les cours d'eau, dont dépendent les centrales nucléaires. C'était difficile de choisir, mais j'aurai également voulu cocher : "niveau de sécurité max" et "réutilisation des sites existants"