Publié le 16/01/2023 - 16h24
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B - Son impact en termes d’occupation des sols
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E - Son impact financier national afin de conserver un prix de l’électricité compétitif pour les consommateurs
Le PV ne doit être implanté que dans la mesure où il participe réellement à une réduction des émissions, et pas à un effacement des moyens décarbonés pilotables auquel cas son utilité est nulle. Les fermes PV au sol ne doivent en aucun cas remplacer des surfaces qui sont des puits de carbone ou agricoles. Tout projet de PV au sol doit être évalué en terme d'émissions de GES EFFECTIVEMENT réduites, non pas par rapport à une hypothèse contrefactuelle de production électrique à partir de gaz ou de charbon qui sont marginaux en France, mais par rapport au facteur d'émission moyen français effacé, c'est-à-dire 30 à 40 gCO2/kWh, et ceci en comparaison avec l'absorption de la même surface si elle avait été laissée naturelle ou cultivée. Il est probable qu'en tenant compte d'un calcul honnête de ce type on réalise que la plupart des installations de PV au sol réduisent pas les émissions de GES
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