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Publié le 16/01/2023 - 20h50

Vincent P

  • B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

J'hésite entre A et B. J'ai peur que des efforts trop important dans des habitats trop peu efficaces énergétiquement risquent d'affecter la santé et le bon état du logement (humidité...). Il faut évidemment aider à la rénovation énergétique tout en évitant à tout prix un effet rebond (un certain nombre de kWh gratuits à la consommation selon la performance énergétique du bâtiment et le nombre d'occupants pour éviter les surconsommation et éviter de pénaliser les plus pauvres ?). Néanmoins c'est un poste vital de réduction des consommation. Pour ce qui est des bâtiment à usage collectif hors lieux de soin, je pense que la réponse A est adaptée. Notamment car il est plus facile d'inciter les efforts personnels si l'on constate que la collectivité les réalise déjà.