Publié le 16/01/2023 - 21h28
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
On ne fait pas de demi mesure avec l'énergie, en dehors des énergies renouvelables (qui sont limitées en capacité de production si l'on essaye d'éviter une trop grande artificialisation des sols) le reste des énergies que nous utilisons dépendent de ressources finies dont il faudrat apprendre à se passer au maximum jusqu'à ce que l'humanité maitrise la fusion à un niveau industriel, ou que l'on dévelope des techniques de stockage de l'énergie bien plus performantes. On a actuellement aucune idée de l'horizon temporel de ces deux découvertes mais pour la fusion on aura pas de maitrise industrielle avant 2045 au doigt mouillé, et c'est sans compter les retards qui peuvent facilement s'accumuler sur des projets de cette ampleur. Dans l'optique incertaine de l'aprovisionnement énergétique je préconise donc une sobriété de principe car "l'énergie est notre avenir, économisons la"
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