Partager la page

Publié le 16/11/2022 - 20h33

julien_pouille

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

Encore une fois ici, les choix C et D sont physiquement irréalisables par la simple réalité des contraintes physiques qui pèsent sur les systèmes et ressources énergétique. La question de la justice sociale (à plus grands revenus, plus grands efforts) et celle de prioritisation des usages (nécessaires vs superflus) est clé. Enfin, les délais de mise en oeuvre de mesures impacteront les trajectoires CO2: plus on attend, plus les efforts seront grands et la marche haute, et plus les ressources seront limitées.