Publié le 16/12/2022 - 10h31
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
L'impact sur la biodiversité d'implantation diffuse des installations d'énergie renouvelables sera obligatoirement plus lourd en touchant plus largement les populations les plus sensibles. De plus , ces énergies "vertes" ne le sont guère plus que le nucléaire au regard de la production et de l’acheminement des matières premieres nécessaires à la construction des outils de productions ainsi que de leur recyclage. la rentabilité économique en particulier des micro-projets est par ailleurs tout a fait illusoire.
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