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Publié le 17/01/2023 - 13h02

benoitmarion

  • A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

L'empreinte au sol est un (parmi beaucoup) des critères d'évaluation des sources d'énergie. Il est primordial de limiter l'artificialisation des sols, afin de préserver les écosystèmes, et plus simplement les surfaces agricoles dont les rendements risquent de baisser (sécheresse, aléas climatiques). Le nucléaire bénéficie à cet égard de la plus petite empreinte au sol. Notre indépendance est par ailleurs indispensable dans un monde de plus en plus instable.