Publié le 17/12/2022 - 13h44
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
On peut difficilement faire accepter une régression du confort actuel, notamment en cas de télétravail, et en tenant compte du vieillissement progressif de la population. Par ailleurs cette option n'est pas incompatible avec une réduction de la consommation énergétique si la température est correctement gérée en fonction des plages horaires et des locaux, et si les bâtiments peuvent être améliorés vis-à-vis de leurs besoins énergétiques en période froide et en période chaude.
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