Publié le 18/01/2023 - 00h17

• D - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)

D. Revenir à une approche pédagogique simple et rationnelle. Quels sont les problèmes ? Quelles sont leurs causes ? Comment pourrait-on s'attaquer à ces causes ? Ou (en dernier recours seulement, contrairement à ce qui est préconisé) tenter d'en corriger les effets. Quelles sont les échéances à respecter ? Comment peuvent se répartir les efforts, entre politiques, entreprises et particuliers ? À quelle échelle géographique ? Pour quels coûts et avec quels financements ? En un mot faire participer chacun à la réflexion sans imposer des solutions toutes faites et souvent mal perçues car mal expliquées. Et pratiquer une langue française simple et correcte, dénuée “d'éléments de langage” de la langue de bois et du politiquement correct, des expressions vides (“faire en sorte, pouvoir permettre, tout mettre en œuvre”…) et des barbarismes inspirés par le globish (“en charge, en capacité, en responsabilité, en situation de, impacter”…). L'ampleur des enjeux doit définitivement exclure tout artifice de langage, sous peine de défiance face à des discours formatés et interchangeables. Et surtout écouter, valoriser et responsabiliser.