Publié le 18/01/2023 - 10h01

• B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

Plutôt B avec des nuances, en effet il conviendrait aussi de se débarraser des millions de logement inchauffable, risquant parfois même la destruction, comme on la vécu dans les villes anciennes mais pas seulement...On est d'accord que la spoliation par le cout de l'Energie fait exploser les cout des bâtiments neuf, là il y a quelque chose à faire par l'état , un sortir immédiatement du marché de l'électricité, deux s'armer de services de construction performant pour l'habitation type HLM en capacité technique et opérationnelle, pour l'instant donneur d'ordre soumis aux aléas du marché, quand on a des millions de logement à construire on peut espérer autre chose.....de plus rentable. De ce fait on pourrait très bien développer l'industrie des chauffe eau thermiques par ex, inabordable aujourd'hui il faut aller chercher en Allemagne ou ailleurs prohibitif....pareil un marché plus important que les voitures que l'on connait depuis 20 ans plouf . A quoi servent nos écoles polytechnique, d'ingénieurs en tout genre l'ENa et autres grands corps d'etat pour en arriver là , ne pas savoir résoudre l' essentiel évident en appliquant les politiques court terme des exigences électorales. La réindustrialisation massive dictée par des besoins vitaux, le reste on verra plus tard, le privé à failli complétement sauf de s'enrichir et faire une inflation galopante, il convient que l'état reprenne la manœuvre tant sur les idées que sur la technique voir la production...Stop aux politiques de subventions qui plombent complétement les entreprise, détournent l'activité des fonctionnaires et demandeurs sur des dossiers plutôt que sur ce que l'on doit faire de concret