Publié le 18/01/2023 - 11h06
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
Les territoires ne sont pas égaux, c'est un principe de réalité. En ville la pollution est plus présente qu'à la campagne, mais à la campagne il y a plus de pesticides ; je ne trouve pas choquant de concentrer une partie de la production énergétique en quelques endroits et cela réduit les frais d'infrastructure. Par ailleurs il faut réduire notre dépendance énergétique vis à vis de certains pays qui peuvent exercer un chantage (e.g. exemple du gaz Russe suit à la guerre en Ukraine)
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