Publié le 18/01/2023 - 13h48
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A - La relance d’une politique électronucléaire globale et d’ampleur (mise en œuvre des trois piliers de Belfort), comparable à celle des années 1970 et 1980
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G - La réduction des besoins d’importation notamment en uranium (ex. au travers du recyclage des déchets nucléaires pouvant l’être) quitte à augmenter le prix de l’électricité produite
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I - Le maintien d’une politique de R&D visant à développer de nouvelles technologies de réacteurs
Bonjour, Je pense que le nucléaire est une excellente source d’énergie décarboné (sauf construction de la centrale), permettant l’autonomie énergétique du pays (surtout si on peut développer le recyclage de l’uranium) et avec un impact très faible sur la biodiversité (parce que le ratio emprise foncière / production d’électricité est très faible comparé aux éoliennes ou centrales solaires notamment et cela libère du foncier pouvant être consacré aux espaces naturels). Cela ne signifie pas pour autant qu’il faille abandonner les énergies renouvelables qui ont leurs avantages propres en particulier l’éolien offshore et l’agrivoltaisme qui justement posent moins de question de partage de l’usage des sols). Ainsi à terme un mix de production 60-70% nucléaire, 15-20% renouvelable et le reste en hydroélectricité me paraît bien. Merci Victor
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