Publié le 18/01/2023 - 14h35
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C - Son impact sonore
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D - Son impact financier local (pour la collectivité ou les riverains)
- A) L'impact visuel est important dans les espaces d'exception. Or sur la majorité du territoire en plaines, les paysages n'ont rien d'exceptionnels. Sur d'autres l'intégration est simple (exemple des forets) car cachés par la végétation et/ ou le relief. - B) L'impact sur la biodiversité est extrêmement faible comparativement à d'autres activités (surtout un certains nombre bien moins générateurs de valeur pour les territoires). Si on voulait être cohérent, il faudrait alors avant tout interdire les chats, la chasse, tout les pesticides, l'artificialisation des sols par du parking ou des routes nouvelles etc.... Mais nous savons bien que cet arguments est une excuse biaisée car les mêmes qui la sortent ne sont pas prêt à interdire/limiter les activités qui ont vraiment un impact sur la biodiversité. - C) L'impact sonore est très important, surtout en campagne. Il doit être particulièrement surveillé, mais avec des niveaux réglementaires d'émergence correspondant à la réalités d'activités humaines. - D) L'impact financier local est très important aussi. Il faut développer les modes de rémunérations des collectivités locales. Sur ce point la suppression de la taxe pro est une aberration. - E) L'impact financier national est un non sujet car on sait grâce à RTE que l'éolien permet d'atteindre des niveaux de prix du système électrique qui est au même niveau que les autres scénarios. - F) La participation des collectivités est aussi un non sujet car il leur suffit d'investir grâce au crownfounding qui est devenu la norme, dans ces projets. Ils peuvent aussi faire des projets citoyens. Pourquoi n'y en a-t-il pas plus? - G) La concertation est déjà hyper poussée. Bien plus que pour toute autre activité. Je ne vois pas ce que l'on peut faire de plus. Il faudrait se mettre au même niveau que pour d'autres activités par simple cohérence.
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