Publié le 18/01/2023 - 17h26

• C - La répartition des installations d’énergie renouvelables de manière équilibrée et diffuse sur le territoire, avec des impacts locaux a priori plus modérés mais qui touchent l’ensemble du territoire

• E - La minimisation du coût global du système électrique (moyens de production, moyens de flexibilité et de stockage, évolution des réseaux) pour conserver un prix de l’électricité compétitif pour les consommateurs

l'indépendance énergétique repose sur notre capacité à la produire sur place. La base de l'énergie nucléaire étant l'uranium que nous ne produisons pas en France, disqualifie cette énergie d'une politique énergétique réellement indépendante. ainsi un pari 100% serait certes le plus exigeant (changement radical de notre consommation industrielle, tertiaire et individuelle) mais le plus résilient et efficace car au défi majeur des changements climatiques. car l'enjeu majeur est bien celui ci. Or l'industrie nucléaire a besoin d'eau et de stabilité géopolitique (pour rappel nous envoyons une partie de nos déchets nucléaires en Russie...), ce que le changement climatique met à rude épreuve. De plus le nucléaire entretien le mythe d'une énergie abondante, ce qu'une réelle politique énergétique ambitieuse ne peux continuer à cautionner afin que des actions de "réduction de la consommation" et "efficacité énergétique" soient réellement engagées.