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Publié le 18/01/2023 - 23h02

gsalles82@gmail.com

  • B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

Aucune concertation ne porte actuellement sur les centrales au thorium. Ces projets écartés dans les années 1970 pour des raisons d'industrialisation rapide "portées" par des puissances étrangères a depuis démontré que non seulement le CEA était en avance sur ces questions, mais redeviennent actuellement pertinentes. Sécurité passive des systèmes. En cas de coupure d'alimentation, aucun emballement nucléaire. Ces centrales peuvent utiliser et retraiter des matières fissiles et des "déchets" de longue vie. L'alimentation est garantie par les sommes "déchets nucléaires" détenus avec faibles apports étrangers. C'est une reindustrialisation centrale pour le maintien de la France en tant que puissance industrielle technologique et nucléaire dans le monde alors que la Chine investit massivement dans ce domaine tout en conservant l'autonomie et le leadership au moins européen sinon mondial C'est une réponse de decarbonation et de réduction des risques nucléaires mondiaux