Publié le 18/01/2023 - 23h49
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D - Favoriser l’implication de leurs administrés et l’acculturation aux enjeux notamment en faisant connaitre les objectifs, les leviers et les aides disponibles
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E - Inciter et accompagner les changements de mode de vie, avec une attention particulière à ne pas créer une transition à plusieurs vitesses en fonction des publics
Au vu de l'urgence de réduction de consommation, la priorité est de changer les modes de vie, et donc de sensibiliser les citoyens qui sont encore largement méconnaissants des enjeux et des changements à mettre en œuvre. Donc les réponses E et D. La réponse C est nécessaire également pour pouvoir développer les nouvelles énergies dans les régions où c'est possible tout en tenant compte des problématiques locales. La réponse A concerne d'abord l'Etat, à moins de faire de la production d'énergie un problème plus local et ainsi favoriser le développement des régions qui disposent de plus de sources d'énergie / financements au détriment des autres, dans le but de faire en sorte que les citoyens se rapprochent des sources d'énergie pour réduire les dépenses (et pertes) d'acheminement. Mais cela suppose de grands changements de gestion des territoires en décentralisant, et d'autre part de favoriser et d'encourager ces mouvements de population (de même au niveau européen et mondial). Or, je ne pense pas que cela soit la priorité au niveau national, en considérant le rapport résultat / efforts demandés. La stratégie de production globale doit rester nationale, notamment pour le nucléaire, et le développement des énergies renouvelables doit être soutenu massivement dans un premier temps (avant de taxer les autres énergies pour que le renouvelable reste plus rentable), de manière identique partout. Si le soutien étatique est insuffisant, les régions pourraient encourager le développement du renouvelable aussi, sous contrôle de l'Etat néanmoins pour éviter les aberrations (construction à tout-va dans des zones inadaptées).
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