Publié le 19/11/2022 - 22h16
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
en tant qu'électricien je peut affirmer que depuis plusieurs années nous sommes poussé vers la surconsommation électrique, a chaque bâtiment a mettre a louer on change les plaques en électrique et on change le chauffage en électrique. tout elec les gars, mais on mets tout les oeufs dans le même panier! oui, le carbone effet de serre etc... mais, la vapeur d'eau émise par les central nucléaire a cette altitude a aussi un effet de serre, tout n'est pas que dioxyde carbone! je suis désolée mais cuire sur une gazinière est le mieux que nous puissions faire pour le moment et ho mystère! c'est une technologie que nous maitrisons parfaitement! seul émission, H2O mais a basse altitude... j'ajouterai que un bâtiment a une certaine exposition a une énergie, solaire, éolien, etc, comment capter, transformer, stocker et dépenser cette énergie? capter, transformer (avec pertes), dépenser, ça on sait faire! mais stocker? a la non! ça on galère! et c'est pas avec des batteries lithium (durée de vie 10ans) qu'on va équiper efficacement ce pays, ou alors uniquement ce pays, et pour 10 ans! ridicule! j'ai la conviction qu'il y a une volonté politique (entre autres) de ne surtout pas développer cet aspect. pour peu, les bâtiments deviendraient VRAIMENT autonomes (passifs)! avec même un surplus énergétique correspondant a leur expositions/consommation annuel! je ne voudrai pas sortir du sujet donc je m'arréte la. a bon entendeur salut! thibault
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