Publié le 19/12/2022 - 17h29
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
Aujourd'hui nous disposons de moyens techniques suffisants afin de rendre nos lieux de vie particulièrement sobres en énergie (ce qui n'est pas le cas sur tus les sujets), alors pourquoi s'infliger 17 degrés? Reste maintenant à avoir une politique vraiment volontariste sur le sujet et bien cibler les aides, tout d'abord en contrôlant les devis/travaux effectués afin que les aides de l'état n'aille pas directement alimenter les effets d'aubaine comme cela se produit de manière systématique. De la même manière, une certaine maitrise des couts de l'immobilier et en particulier des terrains dans le peri-urbain, pourrait permettre de consacrer une partie plus conséquente du budget des ménages à la sobriété des habitations dont ils font l'acquisition.
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