Publié le 20/10/2022 - 14h23
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
La période nous l'indique clairement, nous ne devons pas dépendre de l'extérieur pour notre production d'énergie. Pour cela, il faut mieux une surabondance, qu'une restriction. Cela n'apporterait que volatilité dans les coûts et tensions au sein de la population. Il est peut-être temps également de dire aux Français que tout cela à un coût.
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