Publié le 20/10/2022 - 14h38
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
Pour la réponse A : arrêtons de massacrer les paysages avec des éoliennes de plus en plus énormes et disgracieuses. Et en plus achetées à l'étranger et pas djutout écologique en terme de cycke de vie et peu rentable énergétiquement si elles sont installées dans des zones inadaptées. Réponse B : le conflit russo ukrainien doit ouvrir les yeux, n'est ce pas ? Allemagne, Autriche, Hongrie, etc...France du fait de son laxisme endémique.
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