Publié le 20/10/2022 - 17h37
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A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
Remise à niveau d'une fililère nucléaire telle qu'elle existait au temps d'AREVA, avec intégration complète de la chaine de valeur. Ces capacités permettrait notamment de soutenir une production d'hydrogène, qui nous rendrait davantage autonome que le stockage d'énergie par l'intermédiaire de batteries et qui serait au final moins polluante.
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