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Publié le 20/10/2022 - 17h57

o_cedar

  • B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

Je ne comprends pas les proporistions de réponses, vous semblez partir du principe qu'on se chauffe en moyenne à 19°, ce qui m'étonne fortement, c'est bien plus en moyenne ! Il y a énormément à gagner sur le chauffage, avec des limites tant pour le chauffage que pour la clim' et des obligations d'isolation - de non-gaspillage (cf les supermarchés avec des rayons réfrigérés ouverts, les boutiques avec les portes ouvertes...). Un système de bail indexé sur la température max (comme en Suède) permet de motiver à la fois propriétaires et locataires à économiser la chaleur et à investir dans la rénovation.