Publié le 20/10/2022 - 21h49

• B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique

• D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

Les ENR doivent être massivement développées. Eolien en mer. Solaire PV en priorité sur des zones déjà artificialisées (parking, toits d'usines, de bâtiments publics, de maisons individuelles, ...). Hydraulique (même s'il n'y a plus guère de sites: essayer tout de même de construire des STEP)... Il faut se concentrer sur un mix électrique équilibré et résilient avec du nucléaire à maintenir et développer. Je propose d'abandonner les EPR mais de refaire des centrales de 1200 MW ou 1400 MW telles que celles de la fin des année 1990 car elles marchent et ont sait les faire. L'EPR est un fantasme de faire "GROS" qui ne marche pas. Développer massivement la recherche sur les centrales de 4eme génération. Enfin, ne surtout pas seulement se focaliser sur l'électrique: regarder les usages du fossile aujourd'hui et travailler à la transition: transports lourds avec Hydrogène (ammoniac), aviation avec carburant de synthèse... Ne pas oublier de regarder les techniques de capture et stockage de CO2 surtout dans les secteurs industriels où on ne eux pas facilement se passer de gaz.