Publié le 20/10/2022 - 23h04

• A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

• B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique

La minimisation de l'empreinte géographique permet une limitation de l'impact sur la biodiversité et une minimisation de l'artificialisation des sols tout en limitant les nuisances visuelles. Le mix énergétique doit en outre être compatible avec une réindustrialisation du pays, d'où la nécessité d'avoir un mix énergétique flexible, résilient, pilotable, avec une électricité bon marché dans un contexte d'électrification des usages et d'augmentation de la demande.