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Publié le 20/12/2022 - 16h55

MC AURA

  • B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

Une question très orientée qui témoigne du peu d'intérêt à ce débat essentiel porté par les autorités et/ou de l'inculture scientifique Pourquoi ne pas proposer plus simplement de relancer une filière nucléaire d'excellence basée sur la prolongation des centrales existantes sous contrôle d'une ASN moins zélée, le lancement de 20 EPR dont 14 dès maintenant, le financement du programme Astrid pour une nouvelle génération de centrale, l'appui au SMR pour sortir du piège des énergies renouvelables intermittentes promues seulement par les adeptes de la sortie suicidaire du nucléaire ? Pourquoi n'y a t il en données d'entrées au débat que le rapport de Rte et celui de l'Ademe alors qu'il y a d'autres rapports plus indépendant du pouvoir en place qui éclairent encore mieux les débats ? Les débats organisés par les préfectures sont affligeants et déçoivent tous les participants. Fin de la démocratie participative. Retour espéré aux débats lors des élections puis au parlement.