Publié le 20/12/2022 - 19h22
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
La baisse de la température moyenne de chauffage dépend du référentiel, -2°C paraît raisonnable quand le référentiel est à 20/21 °C ce qui est la température moyenne de chauffe. La formulation de la réponse A suggère que le référentiel est à 19 °C, ce qui n'est pas ce qui est observé en réalité. De plus il faut nuancer cette formulation, car c'est une moyenne, et donc ne reflète pas les besoins spécifiques (enfants et personnes âgées qui ont besoin d'une température plus élevée). De façon plus générale, les efforts de sobriété constatés dans le secteur résidentiel en fin d'année 2022 (-10 % environ de consommation d'énergie) prouvent que la réponse A ou B est crédible. Le tout étant de réussir à faire garder les bons comportement dans la durée (hors ménages subissant la précarité énergétique).
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