Publié le 21/10/2022 - 08h18

• D - Aucun effort particulier sur les usages, entraînant donc une poursuite de l’augmentation des besoins énergétiques. Dans ce scénario, aucun changement de pratique ne serait pris en compte, et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers poursuivrait sa hausse.

Sans l’imposition de l’ARENH, l’indexation avec les prix du gaz et le mauvais virage écologique pris par les successions de gouvernements pseudos écologistes, nous n’en serions pas ici et surtout pas dans notre situation délicate. ARENH a mis énormément de concurrence et permis l’émergence de nouveaux fournisseurs. Avec la réglementation actuelle, l’ARENH force les plus gros producteurs comme EDF à vendre une bonne partie de la production à bas prix. Le jour la demande augmente, ces entreprises se doivent de revendre à bas prix et de racheter sa propre production très chère. Totalement désavantageux pour les contribuables. Concernant la production la moins carbonnée en France : le nucléaire, qui est très controversé. Il faut savoir qu’une nouvelle génération de réacteur a vu le jour et que ceux ci ne font plus de déchets nucléaires et le comble de tout, c’est qu’ils fonctionnent avec les déchets nucléaires ! Ces déchets que nous avons déjà et qui nous donnerais une autonomie énergétique propre pour environ 1000 années avec notre consommation actuelle. Toujours mieux que nos voisins allemands avec leur gaz Russe et leur centrales à charbon qui renvoient tout en France grâce au couloir météo Moscou Paris.