Publié le 21/10/2022 - 09h56
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
A titre perso, cela fait des années que je me chauffe entre 15 et 17°C. On peut baisser le niveau de chauffe moyen et SURTOUT pour moi, limiter fortement l'usage de la climatisation car la plupart du temps la chaleur (sauf canicules) ne nous met pas en danger de mort contrairement au froid. Il faut faire ce que l'on peut sur les nouveaux batiments mais ne pas forcer la main des proprietaires qui n'ont pas les moyens ou la possibilité de renover. Il faut multiplier les fonctions de veille profonde sur l'electronique sans que cela devienne une plaie à gérer. Limiter l'usage des chauffe eau en offrant la possibilité de les programmer. Faire de la renovation intelligente car tout comme pour les voitures, si le bilan carbone final de la renovation est moins interessant que de ne rien faire, pourquoi polluer pour fabriquer et monter de nouvelles isolations par exemple. Tout comme une voiture thermique déjà fonctionnelle doit être utilisé jusqu'en fin de vie plutot que remplacer par 1 electrique. Car la voiture electrique de par sa fabrication et sa consommation d'electricité pas forcement verte n'amenera ni un bilan carbone final, ni un bilan en terme d'exploitation des ressources d'un interet flagrant. Mais comme tout cela est un vaste business (voiture electrique, eoliennes...) et que l'interet economique de ces marchés sera privilégié au bien être commun, je doute de l'honnêteté de cette consultation.
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