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Publié le 21/10/2022 - 10h20

Gugusaintpétru

  • A - La minimisation de l’empreinte géographique des projets : il est préférable de concentrer les installations sur certaines parties du territoire (par exemple avec la construction de réacteurs nucléaires ou de très grands parcs EnR), avec des impacts plus concentrés dans l’espace et localement plus intenses

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

Il faut effectivement avoir pour objectif une autonomie au niveau des matières premières, quel que soit le moyen de production électrique, pour ne plus être dépendant des aléas géopolitiques d'ici et d'ailleurs. Se passer du gaz russe pour dépendre des mines chinoises n'est pas idéal. Pour ce qui est du nucléaire, il faut absolument relancer le projet Astrid (réacteur de génération IV), abandonné en raison du faible coût de l'uranium.