2022 - 10h38

ndebove

D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
F - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)

Avant de partir sur des principes de solutions ou des dogmes (développent des EnR, sortie du nucléaire), il faudrait d´abord poser le problème correctement: comment réduire les émissions de GES, évaluer les besoins futurs en électricité (mobilité électrique, chauffage, remplacement des énergies fossiles dans l'industrie), garder une indépendance énergétiques (en construction et en production), utilisation des ressources, retour sur investissement, balance commerciale, mix plus équilibré, intégration dans le mix européens, impact sur l´environnement, occupation des sols, etc...) et ensuite évaluer les differentes solutions sur la base d´études approfondies (scientifiques, techniques, économiques, sociales). Il en ressortira très probablement (à confirmer): - qu´il est indispensable de garder le nucléaire (on arrête de parler de sortie, on parle alors de reéquilibrage du mix) - que les EnR ont besoin du nucléaire (et non du gaz) pour rester bas carbone - que les EnR ont des grosses limites à cause de l´intermitence et pour l´equilibre des réseaux - que l´eolien en général n´a pas beaucoup de sens en France - que le solaire sur les toits, ça a du sens, mais pas dans les champs; il faudra en plus développer une industrie photovoltaïque en France ou en Europe (et non en Chine) - on continue la recherche sur le nucléaire pour éviter/réduire les déchets. - on continue la recherche sur les énergies en général D´abord les bonnes questions - ensuite les solutions.

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