Publié le 21/10/2022 - 11h01
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
La question est mal posée. La température de confort ne dépend presque pas de la température de l'air mais plutôt de l'humidité, des courants d'air, de la température des parois. Il faut faire de la rénovation énergétique massivement et intelligemment. Il ne faut pas résumer le sujet à un problème de subvention pour isoler mais: - développer un tissu d'entreprises compétentes pour la rénovation globale (formation...), - lever les freins à la prise de décision dans les copropriétés.
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