Publié le 21/10/2022 - 13h06
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
Un investissement massif sur l'efficacité énergétique des bâtiments est urgent. Les incitations et les aides ne sont pas suffisants, beaucoup de ménages n'ont pas les moyens de payer une rénovation, même avec les actuelles, même si elles étaient doublées. Cet investissement doit s'accompagner d'une politique de gestion de l'énergie ambitieuse, comportant un volet tarifaire (les tarifs dégressifs favorisent la surconsommation, une idée à creuser: les premiers kwh à prix très bas, et une augmentation exponentielle avec la consommation) et un volet de partage équitable des ressources.
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