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Publié le 21/10/2022 - 13h37

paul

  • D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)

  • F - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)

Avant toute chose, il faut réduire au maximum nos dépenses énergétiques, tout secteur confondu, en supprimant en premier les dépenses dites de "confort" (température de chauffage, vitesse sur la route, nombre de passager par voiture, avion, trajets loisirs, etc.), en réduisant ensuite les activités industrielles qui ne sont pas indispensables (plasturgie, chimie dans certains cas, etc.), pour pouvoir conserver les activités énergivores vitales à l'activité humaine. A ce moment on peut réfléchir à l'électrification plus générale des activités de la France. Parce qu'une électrification - dans un monde croissant ou bien même constant - entrainera forcément l'augmentation de l'extraction de matières premières qui viendront forcément par manquer un jour, et qui plus est, ne se trouvent plus sur le territoire national = dépendance aux puissances étrangères fortes.