Publié le 21/10/2022 - 14h56

• B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

très mauvaises réponses proposées, il n'y a aucun effort collectif demandé, que des propositions individuelles. L'urgent est de simplifier la réalisation des travaux d'isolation et de rénovation des passoires thermiques. Mettre en place un planning global d'obligation de réalisation de travaux - correctement subventionnés pour éviter des votes négatifs lors des AG de copropriété - de la même manière qu'il y a des obligations de ravalement. L'état doit montrer l'exemple en s'assurant que plus aucun logement social reste en catégorie E ou inférieur d'ici 2030. Il convient également de casser le mythe du "pavillon piscine idéal" en amenant dans les villes les avantages du logement individuel auprès des habitants d'immeubles : espace de jardin de proximité sûr où l'on peut laisser les enfant sans surveillance, facilité de piscines collectives (même effémères) lors de périodes de canicule, etc.. afin de limiter l'étalement urbain et ainsi pouvoir avoir un effet de levier sur les problématiques de transport