Publié le 21/10/2022 - 15h20
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
Il parait bien plus logique d'investir dans une réduction de la consommation, plutôt que dans une augmentation de la production d'énergie bas carbone (nucléaire, renouvelable) : investir massivement dans l'isolation des bâtiments, via : - une obligation de travaux pour les propriétaires de passoires thermiques - des subventions adaptées pour permettre les travaux D'autre part, une réduction globale de la température de chauffe et de refroidissement (en été) est souhaitable mais difficile à faire appliquer.
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