Partager la page

Publié le 21/10/2022 - 15h25

PACEM

  • B - Son impact en termes d’occupation des sols

  • C - Son impact sur la biodiversité

Le potentiel d'utilisation des surfaces déjà artificialisées est considérable ( toits, parkings, ponts, ports..). L'utilisation de cet espace et le développement de l'autoconsommation ( couplage avec les véhicules électriques par exemple) doit être une priorité. Ce ne sera pas la priorité des fournisseurs d'énergie puisque ce sont autant de kwh consommés qui leur échappent ou injectés sur leurs réseau qui complexifient sa gestion. C'est donc à l'état et ses structures (ADEME?) de porter cette priorité ( nb : cela suppose que l'on arrête d'affaiblir les agences de l'état) Les opérateurs voudront, eux, équiper de grandes surfaces " rentables". L'état doit définir les conditions de ces opérations ( zones non naturelles déjà partiellement anthropisées, compatibilité avec le maintien d'une certaine biodiversité, synergie avec certaines activités agricoles ( ombrières pour maraichage, etc..). Des programmes de recherche doivent être menés pour définir les cas d'usage pertinents avec leur balance avantages/inconvénients. Ces surfaces, si elles étaient dédiées, devraient être prises en compte dans le décompte de l'artificialisation des terres.