Publié le 21/10/2022 - 15h50
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B - Un haut niveau d’excellence opérationnelle de la filière tant en ce qui concerne la fiabilité opérationnelle et la disponibilité du parc nucléaire existant, le démantèlement sûr des centrales nucléaires, que la capacité à délivrer d’éventuels nouveaux réacteurs, afin de maîtriser les coûts et les délais
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C - La résilience au changement climatique
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G - La réduction des besoins d’importation notamment en uranium (ex. au travers du recyclage des déchets nucléaires pouvant l’être) quitte à augmenter le prix de l’électricité produite
La question de la sureté nucléaire ne se pose pas. à partir du moment où la France exploite des réacteurs, la sureté doit être la préoccupation N°1, ce qui rend la possibilité de choisir cette réponse caduque. La production nucléaire est aujourd'hui "un mal nécessaire" dans le sens où c'est la seule technologie qui permet d'enclencher une transition rapide pour sortir des énergies fossiles. Elle ne doit néanmoins pas nous dispenser des efforts de sobriété requis par ailleurs. En conséquence, avoir une R&D efficace pour permettre le développement de techno plus efficientes (moins de conso d'uranium importé, plus de recyclage, meilleure durée de vie, amélioration du taux de calories récupéré pour limiter les besoins en eau de refroidissement, etc.) pour sécuriser l'usage face au défi du changement climatique me semble pertinent.
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