Publié le 21/10/2022 - 16h31
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B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
Priorité à donner au nucléaire qui seul dans l'état actuel de nos connaissances peut fournir de l'énergie décarbonée. La dépendance à l'uranium pourra à terme être réduite par le développement de réacteurs à neutrons rapide qui permettront d'utiliser les stocks d'uranium appauvri dont nous disposons en France. L'éolien et le solaire augmentent au contraire notre dépendance aux ressources minérales (métaux, terres rares, etc.) dont nous ne disposons pas sur notre sol. De plus, les ENR doivent être remplacées par des centrales à gaz qui ont l'agilité suffisante pour pallier à leur intermittence.
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