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Publié le 21/12/2022 - 18h26

Henri

  • A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

La sobriété voulue est le moyen de ne pas subir une inéluctable rupture. Le confort thermique est le principal poste de dépense énergétique des ménages, c'est donc une priorité de le réduire. Cependant, cela ne doit pas faire oublier les inégalités des foyers français, dont certains occupent des bâtiments que la solidarité nationale doit aider à isoler.