Publié le 22/10/2022 - 11h27
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A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.
Un changement fort pour réussir la transformation de notre société et de ses consommations, doit être psychologiquement et socialement accompagné par des professionnels compétents dans les sciences humaines. Changer les comportements individuels et collectifs dans les usages du bâtiment et en particulier le chauffage qui coûte et consomme actuellement le plus (bientôt la climatisation en été va le rejoindre…. merci les PAC…) ne va pas se faire tout seul en laissant les gens seuls, comme c’est le cas depuis des années et qui explique l’inaction. Des professionnels comme par exemple les AMU sont là pour cela : pourquoi cette profession n’est elle pas reconnue d’utilité public et démocratisée dans le secteur du bâtiment ? Des lobby du BTP et des architectes qui disent savoir faire … finalement sans résultat vu la consommation de leurs conceptions et le faible nombre de rénovations démocratiques… et qui freinent le changement d’échelle pour une accélération ? CHANGEONS DE MÉTHODES pour changer de résultats :
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