Publié le 22/10/2022 - 18h36

• B - Optimiser l’existant et, concernant de nouveaux sites, aménager uniquement ceux dont le potentiel est significatif ou ceux présentant une sensibilité environnementale quasi-nulle

Je crains que le choix C ne fasse trop de dommages environnementaux, mais qu’on ne s’en rende compte que trop tard. Par exemple, pendant des années, on a laissé construire des seuils et des barrages, pensant que l’impact environnemental serait limité, mais on ne se rend compte que maintenant que l’impact est bien plus grand qu’envisagé au départ. Le choix B me semble donc plus réaliste du point de vue de la limitation des dommages environnementaux.