Publié le 22/12/2022 - 18h54

• A - Des efforts très importants, permettant de limiter fortement les besoins énergétiques associés. Ce scénario nécessiterait une généralisation d’une très forte sobriété des usages, notamment en ce qui concerne la température moyenne du chauffage (baisse de 2°C en moyenne, ce qui conduirait à une température moyenne de 17°C), la consommation d’eau chaude et l’utilisation d’appareils électroniques et électro-ménagers.

A, à titre personnel, mais je ne comprends pas cette question. Si l'on peut agir sur la propriété privée dans le cadre de la rénovation thermique du parc résidentiel, l'on ne peut imposer aux citoyens une évolution de leur comportement. La rénovation thermique du parc résidentiel, la poursuite des initiatives (notamment réglementaires) pour mettre un terme à l'obsolescence programmée et l'incitation à la réparation (auprès des constructeurs même) des appareils plutôt que la casse, est prioritaire.