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Publié le 23/10/2022 - 13h02

tscheby

  • B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

La consommation associée à une température de consigne dépend de l'isolation du bâtiment et des activités qui y sont réalisées. Une petite pièce très bien isolée peut être chauffée par la simple présence de ses occupants et de ses occupations (éclairage par exemple), sans qu'il y ait consommation énergétique excessive. Il me semble donc plus logique de renforcer l'isolation des logements partout où c'est possible avant de forcer des températures de chauffage "basses" qui ne seraient pas socialement acceptées. Par ailleurs qui et comment pourrait vérifier ces températures de chauffage ? Les efforts du choix A ne me semble pas tenables, car pas vérifiables, ou alors en étant trop intrusif.