Publié le 23/10/2022 - 14h21
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B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.
la aussi question mal posée, il y a l'ancien et le nouveau. On construisait "bien" il y a 300 ans puisqu'on ne chauffait pas, mal il y a 50 puisque l'énergie était abondante et peu chère, maintenant on fait de nouveau attention. Par ailleurs un batiment isolé, un pavillon, est forcément beaucoup plus énergivore qu'un immeuble en ville. Veut on tout le monde en ville ? L'uniformisation que suppose la question rend une réponse intelligente impossible. Obligeons tous les nouveaux batiments à etre energétiquement autonomes, c'est possible et ça resoudra à terme le problème
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