Publié le 23/11/2022 - 15h41
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B - La compatibilité du mix énergétique français avec un scénario de réindustrialisation de la France, et notamment la compétitivité de ce mix énergétique
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D - La garantie – au maximum – de notre indépendance énergétique et industrielle, en assurant autant que possible notre autonomie sur les composants, les technologies, les filières industrielles et les matières premières (acier et terres rares pour les éoliennes, modules photovoltaïques pour la production solaire, métaux critiques pour les batteries électriques, etc.) et les combustibles (uranium pour le nucléaire)
seule une combinaison de maintien et relance du nucléaire ET de développements massifs d'éolien (surtout off-shore) et de photovoltaïque (au moins sur la moitié sud de la France), accompagnée de R&D sur le stockage massif d'électricité (STEP, power-to-gas et gas-to-power, H2 dans une moindre mesure), de progrès décisifs dans la flexibilté du réseau électrique, permettra à la France de construire un scénario énergétique durable et efficace en collaboration étroite avec le reste de l'Europe ; à court terme (<10ans), les urgences sont la maintenance du parc nucléaire, le fonctionnement du premier EPR et le développement massif de l'éolien off-shore à plus long terme (>15ans) l'objectif majeur sera de développer davantage le nucléaire l'enjeu est d'électrifier au plus vite la grande majorité des besoins (transports, résidentiel, industrie) pour décarboner au plus vite l'économie, tout en maintenant si possible un prix du kWh raisonnable (< 25centimes taxes incluses)
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