Publié le 23/11/2022 - 18h19
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A - La relance d’une politique électronucléaire globale et d’ampleur (mise en œuvre des trois piliers de Belfort), comparable à celle des années 1970 et 1980
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G - La réduction des besoins d’importation notamment en uranium (ex. au travers du recyclage des déchets nucléaires pouvant l’être) quitte à augmenter le prix de l’électricité produite
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I - Le maintien d’une politique de R&D visant à développer de nouvelles technologies de réacteurs
L'électrification des usages est l'enjeu principal de la transition énergétique pour se passer des sources carbonees Le scénario de rte de reindustrialisation est sous calibrée en terme de besoin énergétique par rapport aux scénarii de pnc ou de l'académie des sciences. Pour assurer notre transition et garantir notre indépendance énergétique, il est indispensable de disposer de capacité electronucleaire bien de la de 14 epr2. Un nombre entre 25 et 30 semble plus réaliste ce qui serait de par des construction en série un moyen de fortement diminuer le coût comme dans le plan Mesmer. Il est également indispensable de relancer la filière neutron rapide pour laquelle la France avec 20 ans d'avance disposait des pilotes fonctionnels super phénix. La 4eme génération est le gage d'une indépendance énergétique grâce à notre stock d'uranium appauvri (3000 ans de stock). Il est aussi gage d'une sécurité accrue et d'une faible production de dechets. Si nous ne voulons pas acheter cette technologie aux chinois, il est urgent de reconstruire superphenix et de lancer le programme Astrid. Cela permettra aussi de garantir un maintien d'une très grande part de la valeur ajoutée en France. 90% actuellement grâce à la maîtrise globale du cycle de mise en oeuvre En conclusion, l'avenir de la France et sa transition énergétique dépend de cette relance massive du nucléaire qui est soutenue par 75% des français dans les derniers sondages
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