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Publié le 23/12/2022 - 21h35

ondokoetxea

  • B - Son impact en termes d’occupation des sols

  • H - Autre proposition (à préciser et justifier dans le champ ci-après)

Le solaire est un gisement pour notre production électrique de base L’irradiation solaire au m2 est considérable dans l’hexagone sur une toiture bien exposée au sud et sans ombrage dont 23 % peuvent aujourd’hui être transformés en électricité et 70 % en chaleur - à Lille 1 300 kWh par an au m2 - au Havre, à Caen, Rouen, Paris, Strasbourg 1 400 kWh - à Rennes ou Nantes ou Lyon 1 450 kWh - à Bordeaux 1 600 kWh - à Toulouse 1 700 kWh - à Collioure 1 890 kWh - à Marseille, Toulon ou Bonifacio 2 000 kWh En Pays Basque - à San Sebastian ou Bilbao, Urruña ou Baigorri 1 450 kWh par an - 1 550 kWh à Bayonne ou Hiriburu - 1 750 kWh à Pampelune - 1 960 kWh à Tudela Et pas si loin à Barcelone 2 014 kWh • • • • • • • Nous devrions pouvoir border les autoroutes, les lignes de chemin de fer, de murs solaires anti bruits avec des panneaux bifaciaux, permettant de produire de l’énergie sur des faces exposées aux soleil du matin et de l’après midi grâce à la réflection et de l’albédo • • • • • • • De même que les parkings anciens et nouveaux, notamment dans les centres commerciaux, les zones artisanales, industrielles, les hôpitaux, les cinémas, mais aussi des usines et grandes entreprises, trouveraient une double utilité en se dotant d’ombrieres solaires : protéger les voitures du soleil notamment en été et produire des quantités phénoménales d’énergie Une place de parking fait au moins 12,5 m2 ce qui est vraiment trop petit soit dit en passant Une véritable place de parking où l’on peut ouvrir les portières sans défoncer la carrosserie de celle d’à côté sans se faire défoncer la sienne) fait 16 à 18 m2 18 m2 c’est dans ma région 4,5 kWc qui vont produire une mauvaise année 5 400 kWh soit de quoi produire autant d’énergie électrique que n’en consomme - une voiture qui parcourt 36 000 km par an - deux voitures qui parcourent 18 000 km - trois voitures qui parcourent 12 000 km - onze motos électriques qui parcourent 10 000 km - trente scooters électriques qui parcourent 6 000 km - 180 vélos électriques qui parcourent 3 000 km • • • • • • • De la meme manière, dans un jardin bien exposé et non ombragé, un garage ou un « carport » avec deux places permet d’accueillir 9 kWc de panneaux solaires soit 10 800 kwh de quoi poduire autant d’énergie que n’en consomment - avec 4 800 kWh deux voitures qui parcourent 12 000 km chacune et deux scooters électriques qui lorsque les jours sont beaux permettent de parcourir 6 000 km chacun pour se rendre en ville ou au boulot ou les petits déplacements du quotidien - ainsi que 6 000 kWh pour la maison avec deux adultes et deux enfants ou adolescents Dans le sud de l’hexagone nos toitures ont besoin de - 12 m2 pour les besoins de base d’un logement - 2 m2 pour les besoins de base d’un adulte y compris ses mobilités en scooter électrique - 1 m2 pour les besoins de base deux enfants y compris ses mobilités en vélo électrique - 2 m2 pour parcourir 4 000 km en voiture électrique (soit 6 m2 si vous parcourez 12 000 km et 8 m2 si vous en parcourez 16 000 km par an) Les installations photovoltaïques et thermiques doivent être prioritairement subventionnées sous condition de ressources pour les ménages en dessous de deux fois le revenu médian Les subventions doivent être augmentées pour les smicards Et encore bonifiées pour les personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté - pensions de retraites insuffisantes ou minimum vieillesse - allocation adultes handicapés - minima sociaux - chômage en fin de droit - étudiants et apprentis Il en est de même pour la mobilité électrique Les personnes qui font le choix de renoncer à la voiture pour adopter les deux ou trois roues, carrossés ou pas ou les quadrycliques, électriques ou à hydrogène doivent être mieux soutenus Les voitures électriques doivent être équipées de prises bidirectionnelles et les logements aussi afin de servir de stockage de l’électricité solaire domestique, des ombrières solaires, à la maison ou au travail, ou sur n’importe quel parking public et pouvoir réalimenter son logement la nuit, ou les jours sombres, afin d’éviter de trop solliciter les centrales thermiques (gaz, fioul, charbon ou nucléaire) qui ne doivent intervenir qu’en dernier ressort pour stabiliser le réseau