2022 - 12h49

Denis Blqt

B - Des efforts plus modérés, conduisant à des réductions plus limitées des besoins énergétiques par rapport au niveau actuel. Ce scénario reposerait tout de même sur un développement important des pratiques de sobriété, notamment sur la température moyenne du chauffage (baisse de 1°C en moyenne) et la consommation d’eau chaude, et sur une utilisation stable des appareils électroniques et électro-ménagers par rapport à aujourd’hui.

A titre individuel dans ma maison "rurale", je mets en œuvre ces usages depuis déjà plus de 20 ans. (reprise de l'isolation, suppression du sèche linge, emploi d'un lave vaisselle eau chaude (sur ECS solaire), utilisation de ventilateurs plafonniers pour le rafraichissement au lieu de la climatisation, tondeuse à gazon électrique branchée sur mes panneaux PV... Il me reste à brancher mon bassin de récupération des EP sur le circuit EU... Difficile de baisser encore plus mes consommations domestiques sachant que 80% de celles-ci sont couvertes par du solaire Thermique et du solaire PV. Pour le bureau, difficile par contre de faire bien avec les bungalows installés par mon employeur établissement public dont la stratégie d'investissement patrimonial est calé non pas sur des coûts de possession globaux sur 20 ans, mais sur des lignes de budgets annuelles cloisonnées favorisant les économies de bouts de chandelles sur l'investissement mais pas du tout sur les coûts d'exploitation (énergie compris) - Bref merci les contraintes budgetaires annuelles non vertueuses ;o))

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