Publié le 24/10/2022 - 23h04
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C - Le manque d’information sur les enjeux et le rôle que peut avoir chacun des acteurs (particuliers, entreprises, collectivités locales, etc.) à son échelle vis-à-vis d’une politique définie au niveau national
Les gens ont une vague idée du réchauffement climatique mais ils n'ont pas les ordres de grandeurs, les liens, l'aspect systémiques des événements et de la situation en tête. Il faut former les étudiants au changement climatique à la chute de la biodiversité, à des modes de vie plus sobres et se basant sur des connaissances scientifiques solides, pour cela une réforme du lycée et de l'enseignement supérieur s'impose pour intégrer pleinement la transition écologique comme un fil conducteur basée sur des faits scientifiques et non idéologiques. Les gens doivent faire le lien avec les sécheresse, les inondations et voir que cela les impacts eux concrètement et directement dans leur quotidien et donc qu'il est nécessaire pour leur survie de changer leurs modes de vie. Le réchauffement climatique est là et ce n'est que lé début. Pour pas mal de monde, changer c'est extrême car il ne prenne pas conscience de l'importance justement extrême des phénomènes qui arriveront mais qui sont en fait déjà là (baisse des rendement agricoles, tornades, ...) Les médias et les réseaux sociaux, influenceurs ont aussi un grand rôle à jouer dans cette transition, il faut en finir avec le climatosceptisicme et le rêves non compatibles avec le futur climatique et les limites planétaires physiques, oui physiques car tout ça repose sur de la science et ce n'est pas une idéologie. Les plus modestes ne doivent pas être oubliés et ce sont les riches qui polluent le plus, les efforts doivent donc être mesurés en fonction des personnes. Les riches et notamment les grandes entreprises et leurs superprofits ainsi que les modes de vie au délà du réel de leurs dirigeants et actionnaires doivent changer.
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